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Sur La Côte, les gens se sentent en sécurité

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Le PLR de La Côte a sondé les habitants sur la sécurité. En résumé: tout va plutôt bien.

Il y a un peu plus d'une année, le PLR Les Libéraux-Radicaux de La Côte organisait un vaste sondage sur la sécurité. Les membres du parti sont descendus dans les rues pour prendre la température. Quelque 411 questionnaires ont été saisis et analysés. Les résultats ont été donnés publiquement à l'occasion d'une présentation à Prangins qui s'est déroulée au début de l'année.

En résumé: globalement et majoritairement, les personnes interrogées se sentent en sécurité. C'est à Rolle où l'on se sent le plus en sécurité avec une note de 5 (sur 6).

A l'extrémité, le pied du Jura, le sentiment de sécurité est le plus diffus avec une appréciation de 4,17. Rien de vraiment alarmant. Que cela soit à la maison, dans la rue ou au travail, la moyenne reste élevée. Et il n'y a guère de nuance par rapport à l'âge ou au lieu de domicile.

Antoine Dumas, qui a compilé les résultats, a avoué avoir été agréablement surpris par les résultats, quand bien même il est un peu " déçu. On s'attendait à ce que, sur la thématique du sentiment d'insécurité, le taux soit plus bas. Nous avons tous des idées préconçues sur la question, aussi à cause des médias."

Pour le PLR, le sujet reste un thème de prédilection. "Nous avons invité la police cantonale à notre séance de présentation qui a réuni une septantaine de personnes. Elle s'est montrée très intéressée par notre enquête , relève le député de Prangins Hans Rudolf Kappeler. A 60%, les sondés estiment que la police est suffisamment présente, quelle que soit la tranche d'âge.

La question des caméras a également été posée. A 71%, les gens y sont favorables. Ils estiment que c'est un élément positif de surveillance. "Si on n'a rien à se reprocher, pourquoi cela dérangerait, les caméras sont un bon outil de prévention" , analyse le comité qui a conduit l'enquête, notamment, Monique Pugnale et Hans Rudolf Kappeler.

Et quelle est la suite? Le groupe PLR continuera à travailler sur le sujet, "puisque notre démarche a été positivement perçue." COPIN


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