Edith Freivogel a pris congé du jardin d'enfants qu'elle a créé il y a vingt et un ans.

" Une page magnifique de ma vie se tourne. " Samedi matin, l'émotion était au rendez-vous dans les locaux du jardin d'enfants le Bac à Sable. Après vingt et un ans d'activité, Edith Freivogel, directrice et fondatrice de cette institution privée, a pris congé de ses fonctions pour une retraite bien méritée. " J'ai 64 ans. Je me suis dit: il faut s'en aller quand on est encore passionnée par le métier ", explique-t-elle.

Une trentaine de collaborateurs, de parents, d'enfants et de représentants de la Commune étaient présents pour saluer l'engagement de cette femme dynamique. " Edith, merci pour tout cet amour que tu as donné aux enfants ", a déclaré la syndique Florence Rattaz dans un discours émouvant.

Originaire de Thurgovie, Edith Freivogel s'est installée à Nyon en 1971 puis à Genolier en 1985. C'est en 1993 qu'elle a lancé la première mouture de son Bac à Sable. " J'ai commencé avec six enfants, dans un petit studio qui se trouvait dans ma maison ", raconte-t-elle. L'établissement grandit rapidement et s'installe six ans plus tard dans un pavillon au chemin de la Bregantenaz.

Retraite active

De quoi sera fait désormais le quotidien d'Edith Freivogel? " Je vais voyager, m'occuper de mon jardin et faire de la musique ", répond-elle. Cette dernière est en effet passionnée de flûte. Elle participe actuellement à l'organisation du premier festival dédié à cet instrument à Gland, qui aura lieu durant la première semaine d'octobre. Mais elle gardera aussi un orteil dans le domaine de la petite enfance. " Je resterai à disposition pour faire des remplacements au Bac à Sable ", confie-t-elle.

Désormais, c'est Jocelyne Zufferey qui tient les rênes du Bac à Sable. Une collègue d'Edith Freivogel depuis dix ans et en qui la directrice sortante a une totale confiance. " Je vais garder la même ligne: un cadre chaleureux pour accueillir les enfants lors de leur première séparation avec la maison ", indique la nouvelle responsable.

Se faisant le porte-parole des pêcheurs, le conseiller communal UDC Sacha Soldini avait interpellé la Municipalité en mars dernier au sujet des lieux d'aisance à Rive. Il avait expliqué que des personnes, profitant du parc de la Villa Thomas et ne trouvant pas de toilettes, "se soulageaient quasiment tous les week-ends dans leurs plates-bandes ou sur les murs de leurs pêcheries, certaines fois même sur les bateaux" . Outre de nouvelles toilettes publiques, il demandait aussi un coup de rafraîchissement aux WC situés sous l'escalier à l'entrée du port.

Début avril, la Municipalité entreprenait les travaux nécessaires à cet endroit. Pour le reste, dans la réponse transmise à l'élu, elle précisait qu'elle allait lancer une étude de la propreté urbaine en 2015. D'ici-là, elle a décidé de faire installer un WC provisoire, pour quatre mois, à la sortie du passage sous-route de Clémenty, près du village des pêcheurs. Une installation qui coûtera 3560 francs. "C'est mieux que rien!" , commente Sacha Soldini qui rappelle que ce secteur des rives du lac est toujours très fréquenté au cours de la période estivale. MCF

La Municipalité juge satisfaisant le premier bilan de la taxe au sac.

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"L'effet de la taxe au sac est impressionnant, il y a clairement une relation de cause à effet entre sa mise en place et la diminution de la quantité de déchets incinérables!" , constate Olivier Mayor. Mise en place le 1 er janvier 2013, cette taxe avait suscité des critiques. Aujourd'hui, la Municipalité se réjouit du premier bilan au terme d'une année de fonctionnement, et félicite les Nyonnais pour leur adhésion au concept. Concrètement, les ordures ménagères incinérables ont diminué de 43%, soit une baisse de 116 kg par habitant. Parallèlement, les Nyonnais ont donc davantage trié leurs déchets: de 36% en 2012, ce pourcentage a grimpé à 54% en 2013. "Notre objectif est de faire encore mieux" , ajoute le municipal qui rappelle que le but est d'atteindre la barre des 60% en 2020. Pour ce faire, la Municipalité entend poursuivre la mise en place d'éco-points dans un rayon de 250 mètres de chaque habitation (lire encadré) et compte sur la déchetterie de l'Asse actuellement en chantier et qui sera en fonction mi-2015. Un équipement qui sera notamment doté d'une "ressourcerie", comme à Yverdon-les-Bains, gérée par une association et qui permettra de recycler des objets.

Si, globalement, les Nyonnais ont fait preuve de civisme (lire le tableau des chiffres), sur certains points des efforts peuvent encore être menés. "Notamment sur les déchets organiques" , assure Olivier Mayor. En 2013, 438 tonnes ont été valorisées, transformées en biogaz ou en compost à l'usine de Lavigny. Une valorisation qui pourrait être doublée, insiste l'élu; les biodéchets représentant, à hauteur de 32%, la part la plus importante des ordures.

Valoriser les déchets peut se traduire par des recettes

Reste la question des plastiques, beaucoup de Nyonnais regrettant de devoir mettre leurs emballages dans les sacs taxés. Une nouvelle fois, Olivier Mayor rappelle être dans l'attente de recommandations de l'Office fédéral de l'environnement. Mais selon lui, si les plastiques devaient être à leur tour triés, la taxe forfaitaire de base pourrait être revue à la hausse. "C'est le système des vases communicants" , souligne le municipal. Actuellement, la Ville de Nyon a plus qu'atteint son objectif financier. Une somme de 3,7 millions de francs avait été inscrite au budget 2013, qui s'est traduite dans les comptes par 3,5 millions de francs. La taxe forfaitaire représente 50% des recettes, la taxe au sac 40% et les 10% restants sont liés à la valorisation des déchets. "Elle représente un enjeu majeur pour les communes" , assure François Menthonnex, chef du Service des travaux et environnement.

Si l'esprit civique a joué un rôle capital, les 300 amendes à 200 francs chacune qu'ont reçu dès les premiers jours de janvier 2013 quelques résistants ont aussi fait leur effet, selon Olivier Mayor. Quant à ceux qui ont jeté leur dévolu sur les corbeilles publiques, les débordements auraient été moins importants que dans d'autres communes, avec une augmentation des contenus de 20 à 30%.

La "saga Lude" prendra fin cette semaine. La casse est libérée de tout objet. Le père de Vincent Lude crie à l'acharnement.

Vincent Lude, incarcéré depuis le 16 juin, a été transféré mercredi à la prison de la Croisée à Orbe. Durant tout ce laps de temps, l'évacuation forcée de sa société a continué, sur ordre de la Direction générale de l'environnement. Son père a tenté tout ce qui était possible pour éviter cette issue, en vain. Il crie à l'acharnement des autorités et estime même qu'il s'agit d'un vol autorisé. Quoi qu'il en soit, la longue sage des Lude est, semble-t-il, en passe d'être terminée. Ne reste plus que la parcelle de la route du Stand à évacuer, mais ça, c'est une autre histoire...

A découvrir dans notre édition papier de lundi. 

La Fondation des Cheseaux a résilié la convention qui la lie à l'association du même nom, car elle a constaté de nombreux dysfonctionnements.

suter@lacote.ch

Sabine et Philippe, des quadragénaires au passé de toxicomanes, se réinsèrent lentement mais sûrement dans la société. Ils sont bénéficiaires de l'Assurance invalidité et n'ont pour vivre qu'un peu plus de 1600 francs chacun. A ce titre, ils peuvent bénéficier d'une aide au logement. Seulement, avec leur passé et un revenu aussi bas, les propriétaires et régies de la place ne se battent pas pour les loger. Faute de mieux, ils ont atterri à l'Auberge des Cheseaux, à Saint-Cergue, en novembre. Depuis, ils sont en conflit contre les responsables de ce lieu d'accueil, car ils jugent les conditions de vie inacceptables, sans parler du loyer, exorbitant. Ils ont refusé d'honorer cette dette et doivent plusieurs milliers de francs à l'Association des Cheseaux, gestionnaire du site. Depuis qu'ils se sont adressés à la presse, ils vivent dans la crainte d'être expulsés.

Des sanitaires fermés, une salle de bain en ruine et des locataires avec qui il faut cohabiter sans avoir pu les choisir... Les conflits sont nombreux et nul éducateur, assistant social ou simple accueillant, n'est là pour palier les nombreuses attentes des pensionnaires. " Un soir, un des locataires s'est profondément entaillé les avant-bras. Il voulait se suicider. Heureusement, un résident l'a vu et nous avons pu intervenir. Que se serait-il passé s'il ne l'avait pas vu?" se demande Sabine.

Soutien de l'association

Jean-Michel Rey, instituteur reconverti en "explorateur social", est en charge du lieu à... 20%! " Mon téléphone portable est allumé 24 heures sur 24, 365 jours par an. Je donne bien plus que le 20% que je suis censé assurer, (ndlr: 50% au 1 er juillet). Je ne peux pas faire de miracles. Ces gens sont majeurs, libres de leurs mouvements, responsables. Nous n'avons pas à les surveiller. Il n'est donc pas question de nommer un gardien de nuit ou de placer un éducateur derrière chaque résident. De toute façon, l'Association des Cheseaux n'en a pas les moyens" . De son côté, la présidente de l'association, Sylvette Huguenin, estime que ces locataires peuvent s'en aller s'ils ne sont pas contents. " Notre tort est de nous occuper de gens que personne ne veut. Vous devriez bien réfléchir avant de publier votre article, car ce sont les locataires qui ont quelque chose à perdre, pas nous" , affirme-t-elle, avant de réitérer son total soutien à M. Rey.

La situation est telle que, suite à notre téléphone, la Fondation des Cheseaux, propriétaire du site, a effectué une visite surprise mercredi. Son président, Pierre Parvex, est abasourdi par ce qu'on lui a rapporté. " Le bâtiment, tant intérieur qu'extérieur, est dans un état lamentable. Il mériterait de sérieuses rénovations. Il tombe en ruine et ne répond pas au minimum que l'on est en droit d'attendre d'un tel lieu. Il est hors de question de laisser ces gens, qui ont besoin d'un réel soutien, livrés à eux-mêmes. Décision a été prise de résilier la convention qui lie la fondation à l'association. A dater du 1 er janvier 2015, la fondation sera seule à répondre de tout ce qu'il se passe sur ce site. Nous savons que Jean-Michel Rey fait du mieux qu'il peut avec ce qu'il a. Mais cela ne suffit pas. Il y a de graves dysfonctionnements. Nous allons voir ce que nous pouvons améliorer dans l'urgence. " La fondation s'attelle à trouver des fonds pour relancer ce lieu d'accueil, le rénover. Elle envisage aussi de construire de nouveaux bâtiments. Les plans, le projet et la mise à l'enquête sont terminés.

Loyer fixé par convention

Il est tout de même étonnant que ces locataires sont contraints de signer une "charte de confidentialité" sur ce qu'il se passe à l'intérieur de la maison en même temps que le contrat de location de leur chambre et la procuration pour prélever l'argent directement sur leur compte! Jean-Michel Rey estime que c'est parfaitement normal. Il reconnaît toutefois que le loyer est élevé. " Par convention, ce sont les Services sociaux qui ont fixé le loyer. Mais ce montant comprend d'autres choses qu'un lit! Les locataires ont à disposition une machine à laver le linge, une cuisine où ils peuvent se faire à manger s'ils ne souhaitent pas profiter du plat du jour et manger dans la grande salle de l'ancien restaurant. Sans oublier les prestations sociales dont ils peuvent bénéficier: aide à retrouver un logement ou un emploi, aide dans les démarches administratives, etc. " " Oui, mais nous sommes contraints de faire des travaux pour justifier cette aide", révèle Sabine. Et de citer, par exemple, la salle de bain. Elle devait faire l'objet d'une rénovation complète, avec l'aide des cinq résidents actuels. Or, une fois complètement démontée, le mur cassé, plus personne n'y a planté un clou. Peut-être simplement parce que ces travaux sont en dehors des compétences des locataires? Et quelle personne, qui paie 900 francs pour un lit, serait d'accord de fournir encore de telles prestations? La fondation a désormais pris les choses en main et espère redonner à ce lieu les moyens d'exister.

Depuis mi-juin, l'entreprise Thévenaz-Leduc débarasse la totalité de la casse nyonnaise. Cette opération devrait se terminer ce jour. Vincent Lude, placé en garde à vue depuis le 16 juin, a été transféré mercredi à la prison de la Croisée à Orbe. Le premier procureur de l'arrondissement de La Côte, Jean-Marie Ruede, le poursuit pour menaces contre autorités. Il risque jusqu'à trois ans de prison et la révocation du sursis accordé lors de sa condamnation à 15 mois de prison pour avoir blessé l'ancien commissaire de police nyonnais.

Depuis le premier jour de son arrestation, ses parents n'ont eu de cesse de faire tout ce qui était en leur pouvoir pour retarder, voire stopper, l'évacuation forcée des carcasses de voitures ordonnée par la Direction générale de l'environnement. En vain. " Le Tribunal administratif a prononcé une mesure préprovisionnelle visant à stopper l'évacuation forcée. Car parmi les tonnes de matériaux entreposés, beaucoup ne présentaient aucun risque de pollution. Mais l'évacuation forcée a continué. Une nouvelle fois, les autorités se sont acharnées sur nous. Il y avait pour des millions de francs de marchandises. Des moteurs anciens, très recherchés par les collectionneurs, des pièces de rechange qui ne contenaient aucun liquide polluant... De plus, aucun huissier ou responsable quelconque n'a procédé à un inventaire des biens emportés. C'est purement et simplement du vol" , s'insurge Daniel Lude, père de Vincent.

De son côté, la Direction générale de l'environnement, avec à sa tête Michel Chuard, reste muette. Les menaces proférées à son encontre ont pour conséquence que Vincent Lude devra se soumettre à une expertise psychiatrique, sésame pour une éventuelle sortie de prison. Il devra en outre s'acquitter des frais d'évacuation. Mais le directeur technique de Thévenaz-Leduc est d'accord d'entrer en matière pour payer à la tonne les carcasses qu'il a récupérées.

Curieusement, la Ville de Nyon, quinze jours avant l'ordre d'évacuation, a proposé de racheter la parcelle de Daniel Lude pour 3 millions de francs. Ce dernier n'a pas accepté l'offre, la jugeant trop basse. A ce jour, nul n'est en mesure de prévoir ce qu'il adviendra de cette zone. Une chose est sûre, il n'y aura plus de carcasses automobiles, faute d'autorisation d'exploiter. DS

C'est à l'issue de la brûlée des sapins à Tartegnin que les quatre Stéphane - Baetzner, Berthet, Jayet, Procaccini - Jean-Daniel Quiblier, Jean-François Déruaz, Jean-Charles König et Bernard Loetscher décident d'organiser la retransmission des matchs de la Coupe du monde au stand de tir.

Ils fondent la Commission du Mondial, palabrent, sirotent, cogitent, planifient et trouvent un plan. Ils installeront la cantine prévue pour la 20 e édition du rallye, un mois durant, dans le jardin du stand de tir.

Finale dimanche

Pour la finale, qui aura lieu le 13 juillet, jour de la fameuse course pédestre, ils descendront la cantine sur la place du Terroir. Marcheurs et Tartevinois pourront y suivre le match. L'ambiance sera belle, à n'en pas douter. Il faut dire que depuis le 12 juin, le bar et la cambuse ne désemplissent pas.

Raclettes, saucisses, planchettes, parfois broches ou sardines, bière, vin du pays, granités et avalanche de buts et de penalties font de nombreux heureux. Un des membres de la Commission du Mondial est toujours sur place pour veiller au bon déroulement de la soirée pluriethnique et multi-générationnelle. Ils ne manquent pas d'idées au pays du bon vin, un Mondial dans les vignes, il fallait oser. DCO

Les vacances ont démarré mercredi soir, à l'issue des promotions.

VSB

Option spécifique économie et droit

Aebi Grégory, Affolter Sébastien, Cosandier Melissa, Dénervaud Leah, Fontannaz Annabelle, Furrer Lara, Grangier Julie, Imhof Loane, Lusa Emma, Magalhaes Fernandes Robert, Meireles Araûjo Jessica, Rexhaj Drin, Rezzonico Vincent, Sasselli Fabien, Sylvén Moa, Taratuta Oryna, Vouillamoz Max, Yokoyama Sofya.

Option spécifique italien

Dénervaud Alysée, Fragnière Monia, Laurent Ambre, Londono Carvajal Joan, Magnin Mélinda, Maret Justine, Novovic Ema, Sapin Sarah, Velasco Taïssa.

Option spécifique latin

Albert Sarah, Crescenzio Marco, Freuler Mathilde, Gonzalez Gonzalez Emmy, Heselschwerdt Anna, Ivanyi Virgnia, Müller Nicolas, Reeve Paul, Robert Léo, Salsac Malik, Vouillamoz Jan, Wenger Mélanie, Zürcher Kevin.

Option spécifique mathématiques et physique

Acharya Diksha Lakkoju, Avala Carrasco Garcia Sofia, Bieri Mateo, Bouzenad Mohamed, Brown Kenny, Burri Bryan, Cassabier Alexis, Collin Lu-Ann, Epitaux Lauriane, Garnier Anaëlle, Gorgoni Sebastien, Larrivé Stéphanie, Lecoanet Arnaud, Lopez Daniel, Lusti Sean, Mochon Salomé, Molleyres Alain, Parmelin Johann, Pechkranz Lois, Pepe Lorenzo, Pollak Fabrice, Rakotoarijaonina Noa, Roig Maxime, Rossin Axel, Sasaki Pereira Anna, Stoliartchouk Mikhail, Tran Estelle Mai, Ugo Marie, Borges Heriberto.

VSG

Ayer Océane, Badel Jolan, Baliu Arian, Bexheti Blerta, Bulliard Jérôme, Charpentier Léo, Christen Anthony, Cornaz Antonin, Coutinho Matias Jessica, Cunha Kevin, Curtet Aude, Da Cunha E Silva Mariana, De Francesco Steeve, Deville Olivia, Dincuff Garcia Axelle, Duss Damien, Faria Araujo Bruna, Ferdani Omar, Ferigoule Cyril, Gageiro Gregory, Girardet Yoann, Gomes Cosa Henrique, John Samuel, Kupferschmid Shannon, Lacrabère Onna, Leâo Cardoso Ricardo Alexandre, Lloyd Timothy, Mayor Jessica, Minotti Anaïs, Olivet Mathias, Pralong Jimmy, Réal Cyrielle, Robin Glenn, Schaffner Séphora, Schären Loris, Silva Pires Da Rocha Joana, Soto Ruiz Cristian, Thibault Sarah, Von Glasow Grégory, Wyss Mélanie.

VSO

Baiâo Kathy, Berbati Zoé, Buffat Arnaud, Carbeti Maryline, Cardellino Mathias, Cugliana Claudia, De Monte Noria, De Sousa Caldas Rui César, Dhahri Monia, Dos Santos Sousa Filipe, Fernandes Pereira Fabio, Fiammetta Lorenzo, Gomes Dos Santos Vanessa, Guillod Yasmina, Henriques Ferreira Cheila Daniela, Iseni Jehona, Kutershi Mirjeta, Lezama Kiara, Maillard Pierre, Montel Neto Jose Jorge, Mourâo Ribeiro Dylan, Pereira Cacao Mylena, Rama Elodie, Sanjuan Garcia Cécilia.

Le nombre de chômeurs inscrits dans le canton de Vaud s'établit à 17 116, soit 175 personnes de moins qu'à fin mai 2014 (-1%). L'effectif des demandeurs d'emploi suit la même évolution avec une diminution de 218 personnes (-0,9%) et se fixe à 23 397. Dans le district de Nyon, on recense 1716 chômeurs (3,8%), un chiffre en baisse de 46 par rapport au mois précédent (et de -140 par rapport à juin 2013). Pour Morges, le nombre de personnes sans emploi s'élève à 1425 (3,5%) (un pourcentage stable par rapport au mois précédent et à l'année écoulée).

Au cours du mois de juin 2014, les ORP vaudois ont inscrit 2803 nouveaux demandeurs d'emploi et annulé 3020 dossiers.

Le nombre de places vacantes annoncées par les employeurs auprès des ORP vaudois s'élève à 2145, en augmentation de 21% par rapport à fin mai 2014 et de 20% par rapport à fin juin 2013.

Hausse du chômage chez les jeunes

Par rapport au mois dernier, les plus fortes baisses mensuelles sont observées chez les personnes sans formation professionnelle (-195 chômeurs), les hommes (-164), les ressortissants de l'UE27 (-162) et les personnes issues de la construction (-158). A l'inverse, les Suisses (+94 chômeurs), les détenteurs d'une formation de degré tertiaire "maîtrise fédérale, HES, université" (+86), les jeunes de moins de 20 ans (+50) et les informaticiens (+38) présentent les plus importantes hausses.

Sur le plan régional, tous les districts voient leur taux de chômage reculer ou rester stable en juin. Le nombre des bénéficiaires du revenu d'insertion (RI) inscrits auprès d'un ORP en tant que chômeurs s'élève à 2511, en baisse de 95 personnes en un mois (-3,6%) et de 210 en un an (-7,7%). COM

Il venait juste de fêter ses 18 ans lorsque ce jeune Nyonnais a commis moult infractions. Il s'en repent.

Il aurait pu croupir deux ans en prison. Mais les juges de la Cour correctionnelle de La Côte, à Nyon, ont tenu compte hier de son repentir sincère, de ses excuses, et surtout de la prise de conscience qui lui a fait prendre le chemin de l'association les Rives du Rhône, en Valais, afin d'y suivre une thérapie.

En décembre 2011, sans qu'il sache vraiment pourquoi, il a bouté le feu à la caravane d'un Nyonnais, au chemin des Mangettes. Une semaine plus tard, sur ce même chemin, c'était au tour d'une voiture de prendre feu. Puis, afin de financer sa propre consommation de marijuana, il en a vendu à Nyon, le long de la Promenade d'Italie. Enfin, il a déposé au magasin CashPay de Nyon, des bijoux et une caméra dont il ne pouvait ignorer qu'ils étaient volés. Pour tous ces faits, il a dû répondre de recel, d'incendie intentionnel, et d'infraction à la loi fédérale sur les stupéfiants, notamment. Le propriétaire de la voiture carbonisée, tout comme la Nyonnaise qui a reconnu ses bijoux chez CashPay et a pu ainsi en récupérer une infime partie, ont tous deux retiré leur plainte. " Je ne veux pas t'enfoncer , lui a dit un lésé. J'espère que tu t'en sortiras. "

Le prévenu a tout à fait bonne allure. Du haut de ses 19 ans, le costume sombre impeccable, chaussures bien cirées, on peine à l'imaginer en jeune voyou, fumant à longueur de journée des stupéfiants et volant la mère d'un copain. Et pourtant...

II a de nouveaux repères

Le Ministère public a requis 24 mois de prison, avec sursis durant 5 ans. Ce sursis est directement conditionné à la poursuite d'un suivi thérapeutique qu'il effectue volontairement dans le foyer valaisan. Ce lieu atypique affiche de beaux résultats. " Mais s'y engager demande volonté et persévérance. Les membres de l'association s'engagent à mener un combat contre toutes formes de dépendance, par des actions incluant l'aventure, la culture et le service auprès des plus démunis", prévenait une des responsables, appelée à la barre des témoins. " Son adhésion à la vie de l'association est totale , témoignait-elle encore. Il aurait pu partir, fuguer, renoncer. Il ne l'a pas fait. Des contrôles sporadiques ont tous révélé qu'il était abstinant à toute forme de stupéfiant. Il a eu de la peine à s'ouvrir, à parler, mais il s'est parfaitement intégré, participe à la vie commune, se lève le matin, commence à avoir des projets de travail et de vie. Il y a encore du chemin à faire, mais il est sur la bonne voie", concluait-elle. Le jeune homme en est conscient et, dans un touchant plaidoyer, il a réaffirmé sa volonté de s'en sortir, quitte à ne plus remettre les pieds dans la région. Dans sa condamnation, la Cour a suivi le Parquet. / DS

La cérémonie mettant un terme à la scolarité a eu lieu vendredi 27 juin à la salle du Gossan.

9VSB

Economie

Chikina Viktoriya, De Korodi Kelly, Donnier Robin, Maeder Dominik, Többicke Tam

Italien

Brun Manon, Decurtins Tanja, Eigenmann Caroline, Gutleben Maude, Kall Courtney, Kemp Emma Laura, Mancesti Fabiano, Möckel Laure, Natalini Lara, Ravenel Marion, Reuteler Lara, Ryf Mireille, Thill Madeleine, Van Boven Annika

Latin

Belin Timothy, Thiele Noa, Vanat Vincent.

Mathématiques et physique

Binggeli Michael, Sun Wei, Fahrni Axel, Flück Julien, Grossrieder Jonathan, Miller Max, Overdick Nicolas, Ramsay Anne-Sophie, Rosario Valentin, Rossier Richard, Salino Jules, Silvestri Géraud, Vanat Aurélien.

9VSG

Achard Julie, Alvarez Oliver, Bezençon Jonas, Borgeaud Dit Avocat Ethan, Campbell Drummond Borges Salvador, Cellerino Emma, Cosgrove Thomas, Etienne Sabrina, Flück Magali, Gallay Aurélien, Gardel Jonas, Guichard Arthur, Hetzel Lukas, Hetzel Angelina, Jones Matas, Kohler Camille, Langel Bastien, Le Tallec Alexandre, Lieberherr Tristan, Luther Elo, Malacari Ugo, Mamie Jonas, Marbot Maryse, Moore Jonathan, Morgenthaler Alessia, Müller Cléa, Peyron Valentin, Pols Ella, Rohde Helena, Steullet Loïc, Studer Rajah, Tissot Audrey, Tordeur Natacha, Trombini Coline, Udry Zoé, Unger Jérémy, Vanat Yanis.

9VSO

Agbessime Rebecca, Bakria Elisa, Combes Evrard, Delécraz Marushka, Ertrijckx Alyssia, Forsyth Caitlin, Fosserat Franck, Geiser Oriane, Jelk Arnaud, Küng Tristan, Lhuillier Anaïs, Lüthi Martin, Mayer Yann, Monteiro Rodrigues Sonia Maria, Nicoud Mathilde, Revil Marine, Rodrigues Sintrão Daniel, Rolli Thomas, Roulin Vicky, Sandri Natacha, Sanna Luana, Selimi Ilir, Tardivel Mariane, Trân Alexandre Van Sang, Vannod Maxime, Yedo Ahéhéhinnou Noémi, Zünd Eva.

Attestations de fin de scolarité

Bolay Christophe, Munoz Orosco Daniel.

La tenue des Championnats d'Europe de cyclisme sur route U23 et juniors dans la région nyonnaise va engendrer des perturbations du trafic entre le jeudi 10 et le dimanche 13 juillet.

En raison des Championnats d'Europe de cyclisme sur route U23 et juniors, des perturbations du trafic sont à prévoir dans la région de Nyon, entre le jeudi 10 et le dimanche 13 juillet prochains.  Ces courses se dérouleront sur une boucle de 12,2 km fermée à la circulation, à raison de deux courses par jour.

Parcours - Contre la montre :
Départ, Nyon, Centre sportif de Colovray  -  route de Clémenty  -  route du Stand  - Eysins  -  Grand'rue  -  route d'Arnex  -  Arnex  -  rue du Village  -  route de Machefer  -  route de Crassier  -  route de Crans  -  Céligny/GE  -  route de Céligny  -  chemin du Port  -   route de Suisse  -  Nyon, arrivée Centre sportif de Colovray

Parcours - Course en ligne :
Départ, Nyon, Centre sportif de Colovray  -  route de Clémenty  -  route du Stand  - Eysins  -  Grand'rue - route d'Arnex  -  Arnex  -  rue du Village  -  route de Machefer  -  route de Crassier  -  route de Crans  -  Céligny/GE  -  route de Céligny  -  chemin du Port  -  chemin de Murat  -  route de Crans  -  Crans-près-Céligny  -  rue du Grand Pré  -  route de la Versoix  -  route de la Gare  - route du Port  -  route de Suisse  -  Nyon, arrivée Centre sportif de Colovray

La tenue des Championnats d'Europe de cyclisme M23 et Juniors, qui se tiendront à Nyon du 9 au 13 juillet, entraînera quelques perturbations sur le réseau routier de la région les jours de courses.

Du 9 au 13 juillet 2014, Nyon accueillera les Championnats d'Europe de cyclisme des catégories M23 et Juniors. Pas moins de 688 coureurs représentant 36 nations arpenteront le circuit préparé à leur intention qui, outre la ville hôte, traversera les communes d'Arnex, Crans, Céligny et Eysins selon le parcours suivant (version corrigée le 3 juillet 2014):

La tenue de cette compétition ne sera pas sans conséquence sur le réseau routier de la région, qui se verra perturbé lors des épreuves qui se dérouleront du jeudi 10 et dimanche 13 juillet.

Afin de permettre le bon déroulement des courses, le circuit sera fermé à la circulation selon les horaires suivants:

Jeudi 10 juillet

Route fermée de 8h45 à 11h10, puis de 13h30 à 17h30.

Vendredi 11 juillet

Route fermée de 9h à 10h40, puis de 13h30 à 17h30.

Samedi 12 juillet

Route fermée de 8h à 11h30, puis de 13h45 à 17h10.

Dimanche 13 juillet

Route fermée de 8h à 11h, puis de 13h30 à 17h40.

Il est recommandé aux personnes ayant prévu de transiter par ces voies de prendre leurs dispositions afin de quitter le périmètre avant la fermeture de la route. Par ailleurs, les riverains du circuit et habitants des routes et chemins débouchant sur celui-ci ne pourront y accéder durant la tenue des épreuves.

Des points de passage permettant de traverser le circuit seront aménagés à certains endroits:

Transports en commun

Les jours de compétition, les trajets et horaires des transports publics seront affectés de la manière suivante:

Bus urbains (ligne 801 et 806)

Ceux-ci circuleront via la Rte de Divonne et non par la Rte du Stand, dès la course de 8h35 jusqu’à
la course de 17h55. Des avis pour «arrêts déplacés» seront affichés sur place. Idem pour les bus des lignes 810 et 815, ceux-ci circuleront via la Rte de Divonne/Rte de Crassier. Avis également affichés sur place.

Village de Borex: (ligne 810)

Desservi par un minibus, correspondance avec le bus de ligne à «Borex Centre»; petites modifications
d’horaire affichées sur place et dans les véhicules. Modification de 8h15 à 17h45.

Village de Crans: (ligne 811)

Tous les arrêts du village déplacés à la sortie du village côté Eysins, d’où déplacement en minibus
jusqu’à Eysins/est, pour correspondance avec le bus régulier. Egalement quelques minutes de modifications d’horaire affichées sur place et dans les véhicules. Modification de 8h30 (après le passage de course de 8h26, départ de Nyon) à 17h30 pour la course de 17h34.

Village de Céligny: (ligne 811)

Arrêts du village déplacés au milieu du village, direction Ch. des Coudres, minibus de substitution
pour correspondances avec bus de ligne à Bogis-Bossey. Modifications d’horaire identoques à ceux de Crans.

Colovray (ligne 811)

Desservi avec minibus, départ au près de la Rte Suisse, parcours via Bois-Bougis, départ selon horaire
affiché. Le samedi et le dimanche, les minibus pour Colovray circuleront également à la 1/2 heure. Les correspondances avec les trains CFF ne seront pas maintenues.

Listes des routes touchées par la compétition:

Parcours - Contre la montre :
Départ, Nyon, Centre sportif de Colovray  -  route de Clémenty  -  route du Stand  - Eysins  -  Grand'rue  -  route d'Arnex  -  Arnex  -  rue du Village  -  route de Machefer  -  route de Crassier  -  route de Crans  -  Céligny/GE  -  route de Céligny  -  chemin du Port  -   route de Suisse  -  Nyon, arrivée Centre sportif de Colovray

Parcours - Course en ligne :
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Une mise à l'enquête pour le moins orginale. Jusqu'au 7 août, les Nyonnais sont invités à se prononcer sur la construction d'un pigeonnier, place Perdtemps. Une initiative pour lutter contre la propagation des fientes dans le centre-ville.

Ce pigeonnier sera recouvert de lames en bois ajourées. D’une hauteur d’environ 5 mètres, il occupera au sol une surface de 3 mètres sur 4m90. Il répond à des critères bien précis: une grande échelle doit permettre l’accès aux trois étages qui vont abriter 14 nids chacun.

Possible cohabitation avec les hirondelles
Le coût de ce pigeonnier est de l’ordre de 40 000 francs. A noter que son toit, plat, sera équipé de panneaux photovoltaïques à usage interne. Enfin la cohabitation avec les hirondelles est aussi envisagée puisqu’elles pourront faire leur nid sous ce même toit.   

Liste des diplômés Bachelor de la région de La Côte:

Obtiennent le Bachelor of Arts HES-SO en arts visuels: Simon Acevedo (Montricher) et Jacques-Alain Demont (Nyon).

Obtiennent le Bachelor of Arts HES-SO en design industriel et de produits: Yannick Messerli (Gilly) et Laurent Beirnaert (mention très bien, Crans).

Obtiennent le Bachelor of Arts HES-SO en communication visuelle avec orientation en design graphique: Morgane dentan (Tartegnin) et Melina Wilson (Prangins).

Obtient le Bachelor of Arts HES-SO en communication visuelle avec orientation en photographie: Jimmy Rachez (Tolochenaz).

Obtient le Bachelor of Arts HES-SO en communication visuelle avec orientation en media et interaction design: Belinda Hoessly (Vufflens- le-Château).

Obtient le Master of Arts HES-SO en arts visuels avec orientation en European Art Ensemble: Nathalie Perrin (mention excellent, Gland).

Bourse Fondation Walter + Eve Kent d'un montant de 5000 francs décernée à un étudiant particulièrement talentueux dans le domaine de la peinture et de la sculpture: Stéphanie Peck (Nyon).

Les voies professionnelles s'ouvrent à ces jeunes adultes qui se sont orientés vers un métier.

CERTIFICAT DE CULTURE GENERALE

Domaine artistique (arts visuels)

Canton Anita, Capon Faustine, Jaccaud Clara, Knuchel Aurélie, Mast Fleur Sophie, Merchant Victoria, Mercier Patricia, Pin Luana, Pochon Eloïse, Roten Michaël.

Domaine santé

Agbayani Sheehan, Angeloni Tatiana, Bays Kylie Kimberly, Carlier Sarah Lin, Chapman Kelly, Coppens Maude, Deshayes Caroline, Ferreiro Mendez Melinda, Flückiger Stephan, Gähler Cindy, Gashi Vera, Genesio Felix, Guillet Coralie, Kolly Julia, Liand Marjorie, Marzolo Laura, Murseli Selvi, Pastoris Dominique Pascale, Pfister Manon, Torres Rafael Victor, Vuaridel Antoine Simon.

Domaine socio-pédagogique

Belghoul Samia, Benoist Philippine, Brandt Justine, Charles Morgane, Chassot Margot, Corino Tamara, Dos Santos Silvestre Adriane, Dullaj Sofia, Faivre Danaé, Frontier Emma, Gentile Juliette, Gusman Niki, Haldi Cindy, Jaquier Thierry-Bastien, Kazemi Sarah, Kleinbauer Natalia, Lüthi Lisa, Martin Maeva, Mayo Angel, Mundwiller Marion, Munier Julie, Pereira Da Silva Alexandre, Rexha Leonora, Reymond Ribo Noemi, Roth Audrey, Schafroth Guillaume, Stalder Arlette, Truan Gabrielle, Turin Marie, Udry Emmanuelle, Van Der Molen Noah, Zidi Sami.

Domaine communication et information

Bega Besnik, Ismaili Ibush, Mouraux Olivier, Yapa Jonathan, Assunçao Duarte Pais Guillaume, Au Alexander, Auch Mélanie, Bibak Robin, Cavelti Gabriel, Dorenbos Jenna, Fleury Adrien, Gilgen Michelle, Harrison Julian, Heiniger Marc, Imesch Sylvain, Lopez Rafael, Monnier Sylvain, Müller Pierre-André, Nyffenegger Vincent, Perriard Alexandre, Prisco Cédric, Schoeb Luca, Smiljanic Marko, Tissot Antoine, Vandini Manouchka, Wang Xinmei, Wiedemeier Adam.

DIPLOME D'ETUDES COMMERCIALES

Bryner Romano, Christen Garry, Claude Grégory, Cochet Dylan, Guignard Simon, Maerchy Cindy, Pinguet Charles Pierre.

MATURITE SPECIALISEE DOMAINE SANTE

Araujo Silva Isael, D'Errico Dylan, Develay Angélique, Grosso Melissa, Jimenez Malika, Kupler Marine, Pasquali Marie, Riesen Mélissa, Spycher Clélia, Voirol Laetitia, Weber Sascha.

MATURITE SPECIALISEE DOMAINE ARTS VISUELS

Camponovo Marc.

MATURITE SPECIALISEE DOMAINE TRAVAIL SOCIAL

Frutiger Samantha, Neuenschwander Selina, Repond Alexandre, Tribolet Aurélie, Wülser Timon.

BACCALAUREAT ET MATURITE GYMNASIALE

Option spécifique arts visuels

Adjadj Marie, Allaz Pauline, Bidaux Anne, Boujol Martin, Brucchietti Lena, Caliari-Charlet Isacco, Cerutti Cédric, Clivaz Margaux, De Korodi Sélène, De Loriol Eugénie, Vergnies Jérôme-Edouard, Devannes Nitya, Etchepareborda Joséphine, Fiechter Amir Alexandre, Gallay Amélie, Greco Laurie, Hardrick Elliot, Hartmann Léa, Hasler Zoé Céline, Jorge Batista Béatrice , Lecoanet Noélie, Lin Tianyi, Nassisi Dimitri, Pozniak Luke, Richterich Tobias, Studer Diane, Vlaenderen Juliette.

Option spécifique biologie et chimie

Abderraziq Elias, Amiguet Alison, Andersson Morgan, Antonietti Déborah, Barboteo Milène, Bärtsch Joanna, Bauer Michael, Belabbas Nina, Berset Elsa, Bianchi Laura, Boscardin Megane, Bovet Anthony, Brandolini Luca Vi-Thanh, Bruchez Loïc, Bürki Adrien, Caliari-Charlet Giovanni, Capon Camille, Caratsch Luka, Cerruti-Sola Titouan, Charles Bastien, Chi Xiao-Xi, Conus Tamara, Dao Loan, Depierre Pauline, Diserens Marius, Duc Clara, Egger Andreas, Enzler Tamara, Faessler Raymond, Flück Mélissa, Frei Damien, Gabioud Fanny, Gachoud Léa, Garrault Pema-La, Gay Bastien, Gétaz Raphaël, Grosjean Estelle, Hafen Colin, Hagon Floriane, Hammi Nadia, Heritier Nadège, Horvath Céline, Hurt Yannick, Hutter Alexandre, Karlen Eliott, Khan Océane, Kofel Donato, Kreuter Sylvain, Küenzi Blaise, Kuhn Jeremy, Lalain Nathan, Lamme Jessica, Meizoso Cynthia, Morard Robin, Moreillon Basile, Moret Vincent, Moulin Diane, Nicolaidis Jessica, Notzon David, Nussbaumer Clara, Nussbaumer Stephan, Paronitti Victoria, Pastore Spencer, Patelli Elliott, Pignon Estelle, Pino Maeva, Pitteloud Robin, Pommaz Jérémie, Pugin Alicia, Rais Hervé, Rama Livio, Renard Niels, Rosset Aline, Schmidt Déborah, Siegrist Warren, Siem Tjam Edward, Sohald Kasper, Stauber Jonathan, Steinemann Lena, Sumi Léo, Thorne Caroline, Tracey Kim, Vallette D'Osia Armelle, Zeggani Sélim

Option spécifique économie et droit

Allmen Loïc, Arx Elena, Arx Elisa, Bercin Andréas, Berczy Florian, Blöchlinger Eva Camille Nelly, Bochatey Matthieu, Brocher Sarah, Carenza Marco, Catenaro Elodie, Catterson Stéphanie, Chan Calienne, Chaubert Jessica, Cornaz Claire, David Laszlo, David Virgile, Dienes Sara, Dumuid Alexandre, Dureau James, Favarger Sven, Hervé Mélissa, Lopez Coloni Lara, Mathys Philippe, Muheim Rebecca, Murcier Alexia, Noirat Loïc, Perret Ania, Pfister Jean-Raphaël, Rais Guillaume, Rasti Nadjafabadi Solange, Serafini Jim, Van Gyseghem Julie, Verstegen Tineke

Option spécifique espagnol

Aeschlimann Morgan, Alves Pinto Rita, Baer Déborah, Bender Lise, Boukhari Soraya, Braunschweig Olivier, Chappuis Ludivine, Cogordan-Gillet Anouck, Cottet Alexandra, Courvoisier Florence, Desbaillets Clara, Devenoges Faye, Engels Megan, Fahrni Julie, Gerber Cindy, Gillioz Julien, Grossenbacher Sven, Heiman Clara, Läng Thomas, Lécureux Giulia, Meyer Roxane Karen, Mosimann Olivia, Mouttet Carmen, Müller Rachel, Olesen Bryan, Paladini Sophie, Perrenoud Chloé, Piccinini Sancho Camila, Pollak Aurélie Jessica, Praz Kelly, Purewal Aarti, Quarta Isaline, Rathe Fanny, Reichhart Tabatha, Smit Maia, Taffé Juliane, Theilkaes Loïc

Option spécifique italien

Baumgartner Lisa, Berthet Sébastien, D'Hont Marion, Golay Diane, Mühlheim Esteves Jérémie, Pinto Filipa, Raffini Marine, Ricci Chloé, Vultier Renaud

Option spécifique latin

Aebi Guillaume, Buensod Adrien, Carreira Raphaël, Mutton Adrien, Ngo Julie-Vi-Uyen, Santomaso Coralie

Option spécifique philosophie et psychologie

Almeida Henriques Miguel, Arzel Laura, Bützberger Olivier, Chatton Elodie, Daverio Justine, Faivre Adrien, Frey Liliane, Gay Anne-Sophie, Gschwind Chloé, Lang Léa Bérénice, Luppi Matteo, Magarditchian Gariné, Mussini Léa, Orban Hadrien, Osman Ella, Parson Lili, Perret Bénédict, Puentes Michaël, Rakotoarijaonina Killian Aina, Roulin Fanny, Ruhee Anouchka, Schmutz Laura, Simon Cristian, Tschachtli Sophie

Option spécifique physique et applications des maths

Ali Damaris, Ali Noémie, Armand Tom, Béchet Antoine, Bettoni Guillaume, Bonato Tristan, Botteron Raphaël, Casas Victor, Chau Alexandre, Davies Ryan, Deferne Nicolas, Durr Dimitri, Eberhard Yannick, Fontannaz Benoît, Graudus Timothée, Hardrick Baptiste, Hauser Quentin, Horvath Raphaël, Kohler Guillaume, Leuenberger Merlin, Mayer Théo, Metic Nasrine, Morandini Ludovic, Morisod Marina, Mosena Dan, Nassisi Gillian, Nassisi Quentin, Odermatt Joël, Otti Nicolas, Perusset Sacha, Reymond Eric, Rueff Christoph, Schlapbach Aurian, Schneider Romain, Suter Willem, Vasconcelos Joa quim

Carrousel: une réunion pour trouver une solution a tourné court, lundi, entre l'ancienne gérante Gabrielle Lachat et le municipal Olivier Mayor.

m-c.fert@lacote.ch

Il y a de grandes chances pour que cet été se fasse sans carrousel à Nyon. "Nous avons différents contacts en Suisse" , commente le municipal Olivier Mayor. Des contacts, mais pas de contrat.

Cette histoire de carrousel commence en tout cas à faire tourner les têtes. Mais pas celles des enfants! Lundi, une réunion qui aurait pu être qualifiée de conciliation entre l'ancienne gérante, Gabrielle Lachat, dont la famille était présente à Rive depuis un demi-siècle, et le municipal a tourné court. Au bout de cinq minutes, les discussions ont été interrompues. Parole contre parole, les commentaires divergent sur les propos tenus. Olivier Mayor aurait-il demandé des excuses officielles à Gabrielle Lachat, comme le prétend la foraine? L'intéressé n'a pas du tout la même interprétation, parle d'un rapport de confiance élémentaire impossible à obtenir. Toujours est-il que les rancoeurs du printemps sont vite revenues à la surface, chacun se disant blessé par les déclarations de l'autre.

Compromis impossible

Une réunion qui, si chaque camp avait pu surmonter ses animosités, aurait pu déboucher sur un compromis, à savoir le possible retour du petit carrousel de la famille Lachat à Rive. Pas cet été, car le manège est en partance pour deux mois à Villars-sur-Ollon, précise la gérante. En revanche, l'autre, plus grand, est emballé à Versoix, prêt à se poser quelque part. Mais, de celui-ci, la Municipalité n'en veut pas, car il prend trop de place.

L'échec de cette réunion vient donc s'ajouter aux différents épisodes du feuilleton du carrousel. Pour rappel, la Municipalité voulant réorganiser les activités commerciales temporaires sur les quais avait envoyé des courriers à leurs gérants en 2013 pour leur indiquer la mise en place d'une nouvelle procédure; leur autorisation ne serait plus automatiquement renouvelée. Dans la série trois petits tours et puis s'en vont, d'autres attractions avaient été retenues à la place du manège, mais n'ont pas fait long feu et ont quitté, depuis, la ville.

Véritable institution, le carrousel de la famille Lachat disparaissant du paysage, des Nyonnais avaient lancé une pétition recueillant 409 signatures pour demander la présence d'un manège à Rive. Et revers supplémentaire pour l'Exécutif, l'affaire avait même fait l'objet d'une interpellation allant dans le même sens, signée par des élus de tous les partis politiques à l'exception des Verts, dont est issu Olivier Mayor. Si elle soutenait la Municipalité dans sa recherche de solution, la formation politique ne souscrivait pas "à l'utilisation parfois démagogique faite de cet objet ". Toujours est-il qu'Olivier Mayor s'était engagé à réintroduire une telle attraction à cet endroit. Quand?, avaient demandé les élus: "Le plus vite possible" , avait-il répondu.

A priori, pour cet été c'est râpé. "Les autres forains nous soutiennent ", assure Gabrielle Lachat qui décrit un milieu professionnel où chacun respecte la place de l'autre.

Accusé d'actes d'ordre sexuel sur sa fille mineure, il reconnaît les faits, aux conséquences dramatiques.

"Il a un parcours sans tache quand il ne boit pas" , relevait hier le procureur Denis Mathey. Pour le représentant du Ministère public, le lien de causalité est évident entre la forte consommation d'alcool de ce père de famille de 40 ans et les faits qui lui sont reprochés.

Entre 2006 et 2010, ce dernier, alors domicilié dans la région, a régulièrement commis des actes d'ordre sexuel sur sa fille, alors qu'elle était mineure. En audience, hier, face aux juges du Tribunal correctionnel de l'arrondissement de La Côte, le prévenu a admis intégralement les faits. M e Pierre-Yves Court, son avocat, a souligné à quel point son client "avait honte et aurait honte toute sa vie."

Le fait que le prévenu ait spontanément entamé une démarche thérapeutique aussi bien pour sa dépendance à l'alcool que pour ses agissements à l'égard de sa fille a joué en sa faveur. Tout comme son absence d'antécédent et sa situation professionnelle régulière. " J'ai rayé l'alcool de mon existence. C'était trop dangereux", a-t-il déclaré. Il a par ailleurs signé une convention dans laquelle il s'engage à verser 15 000 francs à sa fille, à titre de dommages et intérêts pour tort moral - qui n'était pas présente hier et avec qui le prévenu n'a plus de contact.

"La faute commise est grave, le prévenu a répété ses agissements à plusieurs reprises, mais il a reconnu sa culpabilité, a fait front et pris son destin en main. Sa peine doit être modérée malgré la gravité des faits" , a déclaré le procureur qui a requis une peine privative de liberté de 24 mois, assortie d'un délai d'épreuve de 5 ans, conditionné à un contrôle mensuel d'abstinence. Le verdict devrait tomber en fin de semaine.

Immolation par le feu pour récupérer sa fille

"On est toujours ensemble. Notre fille va bien. Elle nous attend à la maison" , expliquait la compagne du prévenu, pourtant assise sur le banc de l'accusation. Au moment des faits, elle et le prévenu vivaient ensemble sur La Côte, élevant leur propre fillette de 4 ans, ainsi que sa demi-soeur - la victime -, enfant que le prévenu avait eue d'une précédente union.

Interrogée par son avocate sur sa présence, hier, en audience, la compagne du prévenu s'est expliquée: "Il a commis des actes inacceptables, il ne peut pas se permettre ce genre de choses. Je serai la première à alerter les autorités si quelque chose recommençait. Je suis là aussi pour montrer à notre fille que je la protège."

Lorsque les faits ont éclaté, le Service de protection de la jeunesse (SPJ) avait pris des mesures à l'encontre des parents, retirant la garde aussi bien de la fillette abusée que de la petite dernière. Il s'est avéré par la suite que la cadette n'avait jamais été mise en danger. Toutefois fin 2011, elle est confiée aux services sociaux et placée en famille d'accueil. Le soir de Noël, la mère, profitant d'une autorisation de visite, s'enfuit avec l'enfant. C'est le début d'une cavale qui prend fin à Carcassonne en 2012, où la famille s'est établie.

Localisée par les autorités françaises, l'enfant est alors à nouveau placée en famille d'accueil. Privée de garde de sa fille, la mère se rend au centre médico-social pour protester contre cette décision, après avoir alerté la presse et la police qu'elle allait s'immoler par le feu. Sur place, elle met ses menaces à exécution. Brûlée, elle est hospitalisée et soignée, avant de revenir en Suisse. JOL

La Municipalité souhaite construire un pigeonnier pour limiter les fientes de ces oiseaux dans le centre-ville.

m-c.fert@lacote.ch

Une mise à l'enquête pour le moins originale. Jusqu'au 7 août, les Nyonnais sont invités à se prononcer sur la construction d'un pigeonnier, place Perdtemps. Conduite par le service Travaux et environnement de la Ville, cette réalisation a pour but de regrouper en un même lieu des oiseaux et, surtout, limiter la propagation des fientes dans le centre-ville.

Ce pigeonnier sera recouvert de lames en bois ajourées. D'une hauteur d'environ 5 mètres, il occupera au sol une surface de 3 mètres sur 4 m 90. Il répond à des critères bien précis: une grande échelle doit permettre l'accès aux trois étages qui vont abriter 14 nids chacun. C'est le cabinet nyonnais Glatz et Delachaux qui est chargé des plans, et qui a déjà conçu un autre pigeonnier, installé dans le clocher du temple en cours de rénovation.

Possible cohabitation avec les hirondelles

Nyon et les pigeons, c'est un fléau pour certains habitants qui ne supportent plus l'invasion des fientes. En 2010, la commune avait lancé un recensement de ces oiseaux avec l'aide de Nyonnais. Il avait permis d'identifier les lieux de regroupement. En 2011, une campagne d'affichage avait été organisée, expliquant pourquoi il ne fallait pas leur donner à manger. Le coût de ce pigeonnier est de l'ordre de 40 000 francs.

A noter que le toit plat de ce pigeonnier sera équipé de panneaux photovoltaïques à usage interne. Enfin, la cohabitation avec les hirondelles est aussi envisagée puisqu'elles pourront faire leur nid sous ce même toit.

Alors que toutes les communes redoutent la fermeture de la poste de leur village, le syndic Antoine Nicolas fait part d'une excellente nouvelle: celle de Begnins survivra.

En l'état actuel des discussions, le bâtiment abritant la poste existante pourrait être racheté par la commune et un nouvel office de poste avec un agencement battant neuf serait alors installé dans le local utilisé précédemment par les facteurs.

Cette formule permettrait à la Poste de proposer les prestations habituelles dans une nouvelle configuration caractérisée par un espace d'accueil complètement réaménagé, plus lumineux et plus moderne, comprenant des guichets ouverts qui facilitent les contacts avec la clientèle. Le syndic ajoute que les discussions actuelles avec les responsables font état d'une location des locaux sur une durée de dix ans, alors qu'habituellement le géant jaune négocie pour cinq ans.

La population recevra prochainement un communiqué d'informations signé de la Poste à ce sujet, document qui est déjà dans les mains des conseillers communaux. BF